Lydia a 26 ans, si la fessée fait partie de ses plaisirs, elle l’aide un peu à être responsable, par exemple : à respecter les limitations de vitesse, à ne pas être en retard.

Elle l’a cherché longtemps ce fesseur, ce n’est pas les prétendants qui manquent sur internet, le problème est qu’ils sont souvent intéressés par autre chose.... ou manquent de maturité et de constance. Avec Monsieur Paul qu'elle a rencontrée sur Fessestivites.com, les fessées qu’elle reçoit une fois chaque semaine sont réelles et sérieuses.

A chaque fois, le scénario de base est le même mais la sévérité de la fessée quant à elle, est bien différente. Devant son bureau d’écrivain, elle doit se présenter à lui en jupe, debout, mains dans le dos pour avouer ses fautes. Cette ambiance austère lui rappelle les rendez-vous qu’elle avait chez le directeur de son école. La grosse variable est qu’il ne donnait pas des fessées, juste des heures de colle.

Personne ne connaît son secret, elle aurait trop honte que cela se sache. Étant devenue un besoin, cette passion qui contribue à son épanouissement n’est pas vraiment compatible avec un petit copain attitré. Lydia ne se sent pas le courage de dévoiler qu’elle a besoin d’une autorité paternelle pour être bien. Sa crainte est qu’un homme devenant son chéri se serve de la fessée pour essayer de la soumettre pour les choses de la vie et le sexe. Et ça, c’est hors de question. Avec son caractère bien trempé, cela ferait des étincelles jusque dans la bouteille de gaz.

Si la fessée compte de ses plaisirs et de ses besoins, aujourd’hui elle redoute un peu son rendez-vous hebdomadaire. En effet, lors de son rapport de la semaine envoyé par email, elle a indiqué à son fesseur qu’elle a encore été en retard au travail. « Je prends note de ce troisième retard » fut la seule réponse qu’elle a eu. Avec Monsieur Paul, une réponse aussi courte n’est pas de bonne augure, surtout qu’il lui avait dit « attention au prochain retard ».

Comme d’habitude, elle est à l’heure devant la porte de son fesseur, là, ce n’est pas le lieu à être en retard ! ! ! Mais cette fois, le bouton de la sonnette semble résister à son doigt. Cette phalange soudain feignante, semble la prévenir qu’un orage sévère ou une tornade fera partie du rendez-vous. Malgré l’inquiétude la submergeant, elle sonne et attend le clic de la porte. Ce qui la surprend, c’est que ce clic de serrure pourtant bien connu la fait sursauter. Après avoir poussé la lourde porte en chêne massif, Lydia la referme et se dirige vers le bureau de l’écrivain.

• Entrez mademoiselle, patientez quelques minutes je termine, quelque chose et je suis à vous.

Attendre mains dans le dos debout devant le bureau est déjà le début de sa punition. Ses doigts deviennent moites, sa respiration se fait plus courte. Monsieur Paul semble vouloir jouer avec ses nerfs, car il fait durer cette attente cruelle pour le moral.

• Alors, quelles excuses allez-vous me donner pour avoir été une troisième fois en retard alors que, vous savez que cela va vous coûter cher de manquer de respect à votre patron, mais aussi à vos collègues de travail.

La panne de voiture et de réveil étant des excuses déjà utilisées, Lydia prétexte les embouteillages sans penser un instant, que cela sera une excuse recevable. Monsieur Paul ne répond pas. Il la regarde dans les yeux et attend. Les secondes de silence semblent durer des minutes. Une sorte de honte troublante la submerge, sa gorge semble se serrer alors que dans sa culotte, elle sent bien que cela ne la laisse pas de marbre. Un paradoxe qu’elle ne s’est jamais expliqué.

• Pour les troisièmes fois, en clair les fautes commises trois fois, vous allez devoir vous installer sur le banc à fessée. Cela ne sera pas une fessée OTK, mais quelque chose qui devrait vous dissuader de recommencer.

« Je suis folle » se dit Lydia en comprenant que cette fois, elle va découvrir les sensations du banc à fessée qu’il l’a faite beaucoup fantasmer. En effet, voir des vidéos où les filles sont fessées attachées sur ce mobilier particulier lui a toujours fait aussi peur qu’envie. Elle n’a jamais été entravée, cet inconnu tant redouté interdisant toute fuite ne la laisse pas de marbre.

• Allez vous installer sur le banc à fessée qui est dans la pièce d’à côté, j’arrive !

« Quel sadique, me laisser y aller seule » pense Lydia en faisant volte face sans répondre quoi que ce soit, comme si elle n’avait pas peur. Une fois devant le fameux meuble, elle le touche, le caresse presque avant d’attraper une des sangles pour vérifier leur solidité. En se couchant dessus, son coeur bat la chamade, en même temps, c’est comme si elle venait de recevoir un sextoys de chez ABCplaisir où elle regarde avec de folles envies, la nouvelle machine à fessée qu’ils proposent.

Le parquet craque en annonçant l’arrivée de Monsieur Paul. Avec des gestes posés, calmes et volontairement lents, il lui passe les bracelets qui vont immobiliser ses poignets. Une grosse ceinture de cuir épais la plaque sur le banc. C’est au tour des chevilles d’être méticuleusement entravées. Autant par réflexe que par curiosité, Lydia teste la résistance des solides entraves.

• Il est inutile de vous agiter, vous allez avoir l’occasion de le faire pour de bonnes raisons dans quelques instants. Lui indique Monsieur Paul avant de quitter la pièce.

En l’attendant, elle remarque qu’un fauteuil est installé devant le banc à fessée et se demande ce qu’il peut bien faire là. La réponse ne tarde pas. Un homme d’un certain âge vient y prendre place silencieusement.

• Monsieur Paul, c’est quoi ça, qui est cet homme ? Il n’a jamais été prévu qu’il y ait quelqu’un lors de nos rendrez-vous. Libérez-moi !

• Non, il n’a jamais été prévu qu’il y ait quelqu’un lors de nos rendrez-vous, mais il n’a jamais été interdit qu’il y ait quelqu’un. Cet homme ne verra pas vos fesses, ne vous touchera pas. Le but de sa présence est de vous punir sévèrement par la honte que vous allez éprouver. Cela m’évitera te taper fort et de blesser vos fesses tout en vous faisant regretter vos retards !

La réponse Monsieur Paul soulevant sa jupe indique clairement qu’il n’a aucunement l’intention de la libérer. La culotte ne tarde pas à glisser sur ses cuisses et à exposer son très joli fessier tout blanc mais se couvrant de chair de poule.

(Que le lecteur ne se trompe pas, il ne fait pas froid chez Monsieur Paul, se sont les frissons de peur qui génère la chair de poule sur le délicat fessier de Lydia)

Comprenant clairement que Monsieur Paul ne la libérerait pas, elle serre les poings de rage et de fierté. Il est hors de question pour elle que cet illustre inconnu, et de surcroît voyeur, se délecte de ses mimiques de femme fessée.

Lorsqu’elle voit Monsieur Paul attraper un Flogger Multi lanières de chez ABCplaisir, Lydia sait qu’elle va devoir lutter pour ne rien laisser paraître. Elle ne se trompe pas. Comme elle le constate au premier coup, cet instrument à fessée n’est vraiment pas un jouet. Ses fesses s’enflamment lentement mais sûrement. Impassible, l’homme en face d’elle la regarde dans les yeux. Elle hait cet inconnu et soudainement Monsieur Paul, venant de porter un coup légèrement plus bas et qui vient de heurter le haut de ses cuisses. Lydia a eu un mal fou à ne pas crier.

Monsieur Paul entreprend de lui expliquer qu’il est irrespectueux d’arriver en retard tout en continuant de la fesser. Le fait qu’il parle ne lui permet pas de se concentrer sur les sensations de la fessée, de rentrer dans cette sorte de bulle tant recherchée. Elle se met à le maudire puissance dix, car cette punition est réellement difficile à supporter.

Bien décidé à la faire transcender, Monsieur Paul dose à présent ses coups et ne parle plus. Lydia finit par « sombrer » dans un état second et ferme les yeux. Elle oublie l’homme en face d’elle, son cerveau semble avoir déménagé dans ses fesses et son bas ventre où ses neurones se mettent à titiller sa tendre intimité exposée au vent des lanières.

• Pour terminer cette fessée, vous allez recevoir deux vrais coups de mon nouveau chat à neuf queues, une petite merveille de chez ABCplaisir. Deux parce qu’il y a deux syllabes au mot retard. Je vous invite à serrer les dents parce que vous allez les sentir passer.

Le premier coup très puissant lui fait ouvrir grand les yeux et la bouche comme un poisson cherchant de l’air. Elle n’arrive même pas à crier tant sa gorge est serrée. Au deuxième, c’est comme si un torrent de lave descendant d’un volcan venait de glisser sur ses fesses. Prise de convulsions, Lydia jouit et, sans s’en rendre compte, fait femme fontaine en trempant le parquet. Les tremblements continuent, c’est comme si son corps devenait fou et échappait à son contrôle. Ce n’est pas la douleur qui la fait pleurer, c’est la perte de contrôle de son corps.

Monsieur Paul la laisse vibrer en silence un petit moment, avant de caresser sa tête avec une extrême douceur. Il recouvre les fesses de Lydia avec la jupe et congédie l’inconnu qui part discrètement. A la suite de quoi, il relève la jupe et passe respectueusement une pommade apaisante sur les fesses écarlates. C’est en lui indiquant de rester couchée sur le banc, qu’il la délivre de ses entraves. Dans l’état physique et psychologique où se trouve Lydia, il ne lui serait pas venue à l’idée de bouger.

La culotte sage est remontée, la jupe baissée sur le feu couvant encore pour un long moment. Monsieur Paul l’aide ensuite à se relever puis la prend dans ses bras, pour aller s’asseoir sur un canapé et la réconforter. Lorsque Lydia ouvre les yeux, elle découvre que le parquet est trempé.

• Mais je me suis pissée dessus. J’ai trop honte !

• Non Lydia, vous avez joui si fort que vous avez fait fontaine. Est-ce que mouiller mon parquet mérite une fessée d’après vous ?

• Oui monsieur, mais pas aujourd’hui s’il vous plait !

FIN

TSM

Note de l’auteur et information

Est-ce que l’on peut jouir avec une fessée et faire femme fontaine ?

Réponse oui mais ne rêvez pas, c’est assez rare !

Cela dépend des lieux, de la durée, de l’ambiance et de beaucoup de choses. Si la puissance des coups jouent dans le déclenchement d’une telle jouissance, sachez que « trop fort » peut la castrer comme le pas assez. Ne basez pas tout sur la puissance, ce serait une erreur. Notez aussi que si elle a joui une fois ou atteint le subspace pendant une fessée, cela ne fonctionne pas à chaque fois.

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